Magrav / Plasma

Toute la matière que nous connaissons est composée d’atomes qui représentent la plus petite unité énergétique d’un élément chimique. L’organisme humain est un ensemble d’atomes qui s’assemblent pour créer des molécules, puis forment des cellules, des tissus et des systèmes entiers (locomoteurs, circulatoires, respiratoires, etc.).

Le corps humain est par définition un corps « énergétique » composé de particules d’énergie atomique et chaque particule électro-énergétique possède des circuits dans lesquels l’énergie est transportée.
La structure de l’atome est composée de :

Noyau : composé de neutrons (charge neutre) et de protons (charge positive +)
Electrons : qui se déplacent autour du noyau en créant des orbites (charge négative -)
Un atome ou une molécule est donc formé d’un noyau positif et d’un nuage d’électrons chargés négativement qui « gravitent » autour du noyau, tout comme les planètes le font autour du soleil. Il existe un équilibre « parfait » entre le nombre de protons (+) et d’électrons (-) à l’intérieur d’une particule atomique. Le corps physique est donc une conjonction d’atomes qui génèrent un champ électromagnétique mais plus précisément un champ « Gravitationnel Magnétique ». Le champ électromagnétique d’un organisme sain a une fréquence de 7,83 Hz. Cette fréquence rend les composants atomiques du corps stables.

Lorsqu’un organisme est soumis à une exposition à des fréquences élevées ou à des phénomènes de toxicité, des pathologies, des stress émotionnels et d’autres facteurs débilitants au niveau des atomes de la cellule, un déséquilibre se produit entre le nombre d’électrons et le nombre de protons.

Les atomes peuvent perdre des électrons (-), la charge totale de l’atome sera donc positive (+). Cette condition au niveau biochimique va modifier le milieu cellulaire en provoquant une augmentation du pH (indicateur d’alcalinité ou d’acidité du tissu) et une diminution de la fréquence (inférieure à 7,83 Hz) qui va déséquilibrer vers l’acidité le milieu cellulaire et par conséquent le rendre faible et exposé à l’action des pathogènes ou autres agents qui prolifèrent dans de telles conditions environnementales. On peut en déduire que tous les déséquilibres de notre corps proviennent d’un déséquilibre des charges magnétiques au niveau des atomes de nos cellules. De ce principe universel découle la théorie des MAGRAVS « Champs Magnétogravitationnels ».

MAGRAVS ET LE CONCEPT DE SOL

« Tous les mécanismes vitaux, aussi variés et différents qu’ils soient, n’ont qu’un seul but, celui de préserver des conditions de vie constantes dans le milieu intérieur ».
a écrit le Dr Bernard en 1878 [C. Bernard, Leucons sur les phénomènes de la vie communs aux animaux et aux végétaux, Bailliére, Paris, 1878, tome I].

Il est donc essentiel de rééquilibrer le sol afin de repousser la maladie. Des propos du Dr Bernard, on peut déduire l’un des principes fondamentaux des champs magnéto-gravitationnels (MAGRAVS), à savoir celui que nous définissons comme « l’intelligence cellulaire ». Pour exprimer le concept en termes simples, dans un état de déséquilibre (perte d’homéostasie), le tissu cellulaire agira comme un accepteur (attirant ainsi la « gravitation ») vers les charges magnétiques dont il a besoin pour retrouver l’équilibre et comme un répulseur (repoussant la « magnéto ») vers les charges dont il n’a pas besoin.

Ce principe est actuellement utilisé dans la médecine aérospatiale qui utilise le rééquilibrage des champs magnétiques du corps pour traiter toutes les maladies dont sont victimes les astronautes (codifiées sous le nom de syndrome de l’espace) pour avoir abandonné pendant longtemps l’aimant le plus important de notre vie : « La Terre ».

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